Les spectacles en ligne


SPLIT SCREEN

Rift (Marseille)

Chorégraphe : Liam Warren, Interprètes : Aurélien Charrier & Erik Lobelius,

Musique : Didier Ambact, Lumière : Cécile Giovansili-Vissière, Dramaturge : Mathilde Lepage Bagatt, Vidéo/Montage : Marine Sahakian (Mira Film)

 

 

SPLIT SCREEN creuse l’interstice entre l’ici du corps et l’ailleurs de l’imaginaire.

Ce terme anglais désigne, dans une production audiovisuelle, un effet consistant à diviser l’écran en plusieurs parties. Liam Warren, jeune artiste canadien basé à Marseille, transpose le procédé en projetant une performance sur une scène segmentée par la lumière. Curieux de la distance entre présence du physique et projection de l’esprit, le chorégraphe met en dialogue un corps évoluant dans un espace polymorphe où la distinction entre réel et fantasmé se brouille. 

Un terrain de jeu s’ouvre - une évolution permanente des formes.

 

Co-productions : Centre Chorégraphique National de Rillieux-la-Pape / KLAP Maison pour la danse à Marseille / SCENE44 n + n corsino, Marseille / Avec le soutien de la ville de Marseille, DRAC PACA et de la région SUD / Remerciements : Théâtre l’Etoile du Nord, Paris / Espace Mimont, Cannes / Centre Culturel l’Allegro, Miribel / Métaphore Collectif, Marseille / Pavillon Noir Centre Chorégraphique National, Aix-en-Provence / l’Entre-Pont, Nice / Centre National de la Danse de Lyon

@Didier Philispart 

La bande son de cette vidéo a été mixée en binaurale, pour une restitution expérientielle, favorisez l’écoute au casque


MONADE

Cie /TranS/ (Nice)

Chorégraphie : Laurence Marthouret, Interprétation : Catarina Perñao, Création musicale : Patrick Marcland, Programmation numérique : Frédéric Alemany, Image de synthèse : Julien Piedpremier, Scénographie : Barbara Kraft 

 

Monade tente de développer la problématique de la  place du corps, sa représentation, ses contraintes, ses limites, ce que l’on expose et ce que l’on cache : corps exposé, corps occulté. L’interprète est seulement perçue à travers une structure translucide sur laquelle un vidéo projecteur zénithal projette des textures. Le corps est emprisonné, perçu, aperçu, imaginé, transformé, disparaissant et surgissant par intermittence. Le danseur interagit, à l’aide du plancher sensible, avec la matière image qui vient l’envahir, le recouvrir partiellement, l’éclairer ou l’obscurcir, ainsi que sur le son  de la bande préenregistrée et transformée en temps réel. La scénographie et l’environnement sonore ne sont pas dissociables de l’œuvre chorégraphique mais lui sont intrinsèquement liés. Un univers particulier et sensible, organique et technologique, où s’impose l’importance de l’environnement dans la vie comme dans l’acte de création.

 

Co-productions : Césaré - Centre National de Création Musicale, Reims / Le Hublot, Nice / Espace 1789, St Ouen / avec le concours du Ministère de la Culture et de la Communication, l’aide à la maquette du DICRéAM / avec le soutien du Centre Numérique Le Cube / Art 3000 / Résidences de création : L’Entre-Pont / l’association les Voûtes Paris 13e

@Erik Lasalle


ORIGINE

Zootrope Le regard en Mouvement (Nice)

Conception et Interprétation : Magali Revest

 

Depuis plusieurs années, Magali Revest compose une œuvre dont la source d’inspiration est la mémoire, le sensible, le regard : donner à voir et à montrer le monde par le prisme poétique. Offrir sa place à la poésie dans ce qu’elle véhicule d’authentique et de fragile. Interpellé par la présence du corps, la place du vivant dans notre monde contemporain. Origine, c’est l’histoire d’une vie ou de toutes les vies. C’est dans cette disposition qu’elle propose le spectacle; Revenir à l’essentiel; le vivant. Comment s’ajuster et changer nos paradigmes de pensées pour s’ouvrir à la construction de nouveaux mondes plus respectueux de la vie et de notre environnement? Magali Revest articule son propos autour de deux mots clés : la compensation et l’expansion, deux mots qui ont donné naissance à la réalisation d’un costume dynamique particulier avec lequel elle danse.  Elle met alors en perspective sa démarche artistique avec le mouvement cellulaire, cette respiration continue, ce flux qui favorise la rencontre, ainsi chaque geste, chaque mouvement se construit et trouve un sens en relation et en inter-action avec cet objet dynamique avec lequel elle joue. 

 

Co-productions : Théâtre de Severin, Roumanie Kissbankers / Résidences : L’Entre-Pont, Nice / Studio Antipodes, Nice / Cie System Castafiore, Grasse / Pôle 164 

 

@Frédéric Pasquini

 


PERCEPTIO

Cie Phase (Nice)

Conception, Chorégraphie et Interprétation : Sophie Boursier, Musique : Studio Phebe’s, 

Vidéo : Nicolas Brunet

 

Perceptio est le troisième volet d’un triptyque fondé sur la relation corps/cycle (Obsolescere - 2015, Transire - 2017). Cette création solo s’intéresse au corps intuitif au cours du cycle de notre passage sur Terre. Tout comme la succession des phases de vie que nous traversons, plusieurs tableaux chorégraphiques se succèdent au sein d’une dimension transversale entre la création musicale électronique et la projection vidéo. Métaphore du temps qui passe, celle-ci est le reflet de la métamorphose de l’interprète sur scène : un temps modelé par ses expériences et son usure fatale. « Je m’intéresse ici à la relation entre sensorialité et motricité, comment leur interdépendance coexiste-t-elle par le biais du mouvement. Le mouvement comme témoin de notre évolution sur Terre. » Perceptio est une expérience organique introspective qui plonge le spectateur dans un environnement immersif.

 

Co-production :  Studio Phebe’s, Monaco / Co-réalisation : Espace Magnan, Nice / 

Partenaires institutionnels : Ville de Nice, Département des Alpes-Maritimes / 

Résidences : Lavoir théâtre, Studio Antipodes, Forum Nice Nord, Entre-Pont, ECSVS

@Frédéric De Faverney

 


TOT LAB(oratoire)

Cie Signes de danse 

Direction : Christine Caradec

Interprètes : Isabelle Bourg, Isabelle Wacquier, Isabelle Blondeau , Anaïs Loyer, Laure Aussibal, Emma Lauterbach, Emilie Blazi

 

 

 

Mary Wigman, la plus grande danseuse et chorégraphe allemande de son temps, reconnue comme principale protagoniste de l'Ausdruckstanz1 présente Totentanz I à Dresden le 14 janvier 1921. Un siècle plus tard la pièce revient au plateau sans jamais avoir été relancée depuis 1923. TOT (un corpus, une histoire) vous propose de vivre, de comprendre la vie d’une pièce et son processus de recréation. Cinétogrammes, croquis de parcours, notes textuelles, articles et littératures en constituent les piliers. Images, vidéos, projections d’éléments d’archives et moments dansés vous invitent à traverser 100 ans en 30 minutes. 

 

Avec le soutien du Centre national de la danse (Danse en amateur et répertoire) 

1 Ausdruckstanz : courant qui émerge dans les années 20 en Allemagne 

Extrait issu de la partition Totentanz de M. Wigman écrite par A. Knust. 1930 - médiathèque CN D Fonds Albrecht Knust - Donation Roderyk Lange


Chez l'Entre-Pont, Le 109,

89 Route de Turin

06300 Nice

 

Mail : 

cie.trans.lm@gmail.com

production.diffusion.cie.trans@gmail.com

 

Téléphone : 

+ 33 (0) 6 1745 21 11

 

 

Crédits photos

Erik Lasalle, Cynthia Lhopitallier, Frédéric De Faverney, Frédéric Pasquini, Frédérique Fichet, Guy Vivien, Valérie Villaume

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